Chronique des luttes (6) : les chantillyonneurs ou les enseignants à l’épreuve du mépris

Le samedi 4 juin, la campagne législative bat son plein à Montargis comme ailleurs en France. Un primo-candidat novice mène campagne sur le marché de Montargis et se fait asperger de crème chantilly. Ah oui, petit détail de l’histoire le candidat en question n’est pas n’importe qui, il s’agit de monsieur Blanquer qui, cinq années durant a été ministre de l’Éducation qui n’est plus vraiment Nationale et les aspergeurs sont deux enseignants d’un collège voisin, Christophe le prof de Techno et Oliver le prof d’Arts Visuels, autrement-dit, deux de ses très nombreuses victimes durant toutes ces années (..)

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Demande d’audience à la Préfète d’Indre-et-Loire

Forte du succès de la pétition demandant le maintien du service des urgences à 100%, l’action populaire entend defendre le service public hospitalier à la préfecture.
Plus de 1000 personnes demandent par le biais de la pétition le maintien des urgences à 100 %
N’acceptons pas ces règles du jeu qui disent « Rien à gagner, tout à perdre »!

Chronique des luttes (5) : au service psychiatrie de l’hôpital de Chinon, plutôt « chambres d’isolement » ou plutôt « contact humain » ?

A l’hôpital de Chinon le vendredi 5 août, une commission d’enquête populaire de la NUPES, intitulée « Allô Ségur », a donné lieu à un véritable  réquisitoire contre la politique du gouvernement en mettant au jour la responsabilité de choix politiques dans la situation actuelle de l’hôpital public. L’Union Populaire Amboise était évidemment représentée par Eric et Muriel. Récit d’une politique détruisant le lien humain et social, préférant les chambres d’isolement aux personnels (…)

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Chronique des luttes (4) : Listes complémentaires et contractuels dans la même galère.

« Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? » faisait dire Molière à un père avaricieux dans Les Fourberies de Scapin au sujet de son fils. Ici la galère se nomme Éducation Nationale et elle vogue sur la mer de la précarité entre deux rives tout aussi peu enviables l’une que l’autre(…)

Y en a marre !

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